Bienvenus

Toi aussi tu aimes courir un peu, de temps en temps, quand les poules auront des dents ? La course façon amateur du dimanche, c'est sur jogging-joy que tu la trouveras. Un petit blog qui sera régulièrement mis à jour avec des astuces, des vidéos, de l'humour, du sérieux, le tout pour des gens simples, sans chichi, qui veulent juste se faire plaisir en courant de temps à autre. N'hésite pas à laisser une petite trace de ton passage !

ps : courir pour attraper son train ne compte pas... quoique si vous le faites tous les jours 4x par jour, ça en fait des minutes de course ;)

vendredi 27 mars 2015

La Jogging box

Ce soir, alors d'un tour habituel sur facebook, je tombe sur une pub pour la JoggBox.

Mais c'est quoi ce truc ?

Apparemment c'est un service que l'on peut acquérir en France. Tous les deux mois, les abonnés reçoivent une JoggBox chez eux pour le prix de 27€90. 

La box est composée comme suit :

Si vous souhaitez en apprendre davantage, n'hésitez pas à aller visiter le site officiel de la JoggBox : http://joggbox.fr/

A quand cela en Suisse ?

RUN RUN - JOGGING JOY

samedi 21 mars 2015

Kerzerslauf 2015

Ce matin, direction Kerzers, une commune proche de Morat, dans le canton de Fribourg, pour l'officiel Swiss Season Opening.

Mon dossard m'est parvenu il y a quelques jours avec toutes les informations. C'est donc tranquille que je me lève ce matin (toujours trop en avance) pour me préparer sans le moindre stress. Et là, gros soucis : où ai-je mis mes fichues épingles à nourrice ?? (vous savez, les 4 fameuses épingles nécessaires à tenir un dossard...). Enfin bon, direction le magasin le plus proche pour en racheter..... je sais pas pourquoi mais je n'envisageais pas de passer à la Migros en tenue de course un samedi matin à 8h30...

Après ce petit soucis de dernière minute, go pour Kerzers !

Après quelques péripéties avec mon GPS qui fume décidément beaucoup trop, je retrouve avec plaisir l'ambiance du village de Kerzers, bloqué exprès pour la manifestation. Pas trop le temps de tout admirer, il me faut aller dans mon bloc de départ.

10h56, les élites féminines partent. 11h, les élites masculines s'en vont à leur tour.

Mon départ est à 11h07, avec le bloc 6. En attendant mon départ, j'entends que la première femme a déjà atteint les 2km. Si ca c'est pas décourageant ^^

Le départ est donné pour le bloc 5, puis enfin notre départ à 11h07 précises.

Je me situe en début de bloc car expérience faite, devoir dépasser les gens, c'est vite pénible.

Cette course nous emmène d'abord en haut d'une colline. Durant la montée, nous passons à côté de jolis chevaux (tiens, je les avais oublié ceux-là ^^). Après un peu plus de 2km, ravitaillement. Et après, c'est le méga pied ! 2km uniquement en forêt sur un super chemin de parcours vita. Je me donne à fond et je force un coup jusqu'à ce que j'aperçoive la fameuse montée de la mort qui tue. Gloups... elle ne m'avait pas manqué. Je cours la moitié puis me mets à marcher. A peine arrivée en haut, je reprends mon pas de course et j'essaie de rattraper le temps perdu (en vain, on est bien d'accord...). Le dernier bout est sur béton et en descente, je force un max. Puis arrivent les derniers 100m... pour les derniers 50m je me lance dans mon petit sprint final, poussant mes capacités athlétiques (oui oui, on en a tous à ce qu'il parait) à leur maximum ! Et me voilà déjà à l'arrivée...

Je regarde le chrono : 29min 14sec... soit 2min 40 de moins que l'année passée. Il y a donc de l'amélioration mais pas assez pour battre mon meilleur chrono sur un 5km. Pas grave, je battrai mon record une autre fois.

Le kerzerslauf est une course que j'apprécie beaucoup. Le parcours, bien que n'étant pas plat du tout, est vraiment sympa et le peu de participants (1300) au 5km rend la course agréable.

Ainsi je rentre à la maison, contente de ma performance mais quand même un chouilla déçue de n'avoir pas osé forcer davantage pour aller chercher le chrono.. tant pis ^^

RUN RUN - JOGGING JOY  



mardi 3 mars 2015

Survival Run 2015 : Feedback

Ca y est, c'est fait. Dimanche 1er mars, j'ai participé pour la première fois au Survival Run à Thun, dans le canton de Bern.

C'est avec Isabelle, Cindy et Aurélien que je me lance dans l'aventure. Arrivée à 10h45 à Thun. Les navettes sont à côté de la gare et nous amènent à la caserne Dufour où se situe notre aire de jeu de la journée. Sur place, des centaines de gens déguisés se déplacent dans tous les sens... une vrai fourmilière ! L'excitation est palpable. La tension aussi d'ailleurs. En tout, nous sommes 3000 participants (ou malades, appelez-nous comme vous le souhaitez ^^)

Une petite photo avant la course... On était encore fraîches dans notre petit déguisement de nain de jardin ^^



11h45, après avoir abandonné l'idée d'aller aux toilettes une dernière fois avant la course, nous nous dirigeons vers le départ, un chouilla stressés quant à ce qui nous attend. 

10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1... GO !!

Tout le monde se met à hurler, motivé à partir ! Ou pas... forcément avec près de 1500 personnes avant nous, il nous faut un petit moment pour pouvoir nous mettre en route. Et puis le moment fatidique arrive, nous passons la ligne de départ.

Après 50m je réalise ma grosse erreur : le terrain est en herbe... Croyant que la plus grande partie serait sur béton, je n'ai pas les chaussures de trail. Mais on s'en fout, on va de toute façon la roter, qu'on soit pied nu ou équipé avec les meilleures chaussures du monde.

Premiers obstacles, des murailles de paille mesurant bien 1m30 se dressent devant nous, il faut passer par dessus... On prend de l'élan et hop ! Par dessus le bazar.

On passe encore quelques obstacles, quelques km, on saute, on rampe, on escalade et puis arrive le grand obstacle tant redouté : le passage de la Morla, la fameuse "rivière" qui fait la réputation de cette course. Sauf qu'on nous avait pas dit qu'il fallait la passer 4-5x cette rivière !!! Après tous les passages, nous sommes trempés jusqu'à la taille, mais étonnamment nous n'avons pas froid. Heureusement, les Guggen sont là pour nous motiver.

Les km passent et nous terminons le premier tour en 1h30. Le mental commence à nous lâcher, nous en avons marre, commençons à avoir faim (rêvons d'un macdo) et marchons... beaucoup. Passé une deuxième fois les rivières, le moral revient et nous repartons au mini trot pour terminer cette course de la mort qui tue. 

Le dernier obstacle est visible et nous accélérons légèrement. Nous grimpons le talus, entrons dans les bennes remplies d'eau, sortons (non sans peine), puis dégringolons le tobogan avec un grand sourire. Il reste 50m de course.

Nous nous prenons par les mains et accélérons pour un dernier sprint final et enfin passer cette fameuse ligne d'arrivée.

Une course incroyable. Elle est épuisante, autant physiquement que mentalement mais on en ressort fier (et crade ^^)


Et voici quelques photos prises sur http://www.athletix.ch, http://liveit.ch et http://www.extrafoto.ch. Nous ne sommes pas sur les photos, mais elles donnent une idée des obstacles que nous avons dû surmonter :








Cette course est une pure folie à faire en équipe. C'est une course que je placerais sous le signe de l'amitié. En aucun cas les gens ne visent le chrono (sauf les élites qui ne se déguisent pas). Les gens s'entre-aident, même s'ils ne sont pas de la même équipe.

Une expérience incroyable que je compte bien renouveler :D

Notre résultat : 16km, 56 obstacles, 3h 10min 07sec

Et bien-sûr, des courbatures un peu partout ^^

RUN RUN - JOGGING JOY

jeudi 19 février 2015

Bref, j'ai cherché des chaussures de course, part 2

Toujours à la quête de la chaussure parfaite, je m'en vais faire le tour des magasins. Un vendeur, pas du tout spécialiste du sport me conseille de la manière suivante : 

"Si vous allez dans la capitale, vous y trouverez un super magasin spécialisé dans la course à pied qui fera une analyse complète de votre style de course, de l'anatomie de vos pieds et qui vous aidera ainsi à trouver chaussure à votre pied."

Désespérant de trouver ce qu'il me faut, je décide d'appeler pour prendre rdv. 

Deux jours plus tard, me voilà dans la capitale, devant mon fameux magasin (sponsors de nombreuses courses en Suisse d'ailleurs).

J'entre et suis directement accueillie avec un professionnalisme hors normes.

J'y ai passé une heure qui s'est déroulée comme suit :

1) Analyse de l'usure de mes anciennes chaussures afin de voir où se situent les points de pression, s'il y a un déséquilibre, etc... Résultat pour mes chaussres : elles sont usées de manière régulière et les points de pression sont exactement là où ils doivent être. En gros, mes anciennes chaussures étaient parfaites pour moi... (quand je dis que j'aurais du acheter 10 paires de celles-ci...)

2) Analyse de mes pieds et de mes jambes. Je monte pour ce faire sur une petite machine munie d'une caméra qui filme le dessous de mes pieds. Sur l'écran se dessine les surfaces de mes pieds sur lesquels je m'appuie. Contrairement à ce que je croyais depuis des années, je n'ai pas (encore) les pieds plats. Cela va très certainement arriver avec l'âge. 2-3 petites exercices sont à faire pour déterminer la stabilité de l'ensemble pied/cheville/jambe. On note toute de suite que mon ensemble gauche est nettement moins stable que le droit. C'est d'ailleurs la jambe gauche qui me fait souffrir. Suite à un soucis de musculature SOUS le pied, ma cheville retombe vers l'intérieur. Il faudra donc une chaussure qui soit capable de retenir ma cheville afin d'aligner ma jambe correctement. Cette faiblesse me fait également tourner mon genou gauche légèrement à l'intérieur (chose que je compense également avec le mouvement de balancier des bras) et provoque une rotation complète jusqu'en haut de mon corps. Ceci peut avoir pour conséquence une fatigue globale plus importante lors de mes entrainements que chez un coureur qui n'aurait pas ce problème.

3) Essai des chaussures. Connaissant l'état d'usure des mes anciennes chaussures, l'anatomie de mes pieds, le passé médical de mes pieds/chevilles/jambes ainsi que la fréquence de course (15-18km /sem), les vendeurs m'apportent alors quelques modèles à essayer. Pour ce faire, je dois courir dans la ruelle derrière le magasin. Ils observent mes mouvements, excluant les chaussures qui ne me soutiennent pas assez les chevilles, et moi j'essaie, excluant celles dans lesquelles je ne suis pas bien. 

Au final je ressors avec des brooks glycerin 12, une marque américaine encore peu connue sur le marché suisse. Ces chaussures sont légères, dynamiques, bon amorti et surtout retiennent mes chevilles qui ne peuvent presque plus tomber sur l'intérieur. En bref, des chaussons

Il aura ainsi fallu une petite heure pour trouver la chaussure parfaite pour mes pieds alors qu'avant j'avais passé des heures dans les magasins à en essayer je ne sais combien sans jamais trouver celle qui me convient.

Petit bonus, si jamais je devais remarquer lors de ma première séance qu'au bout de 2-3km, je ne suis pas à l'aise, je peux sans autre ramener les chaussures et prendre une autre paire qui irait encore mieux ! 

Un service au top que je ne peux que recommander chez Ryffel Running à Bern

RUN RUN - JOGGING JOY


jeudi 5 février 2015

Bref, j'ai cherché des chaussures de course...

Mes chaussures commencent à être usées. Par conséquent, je suis à la recherche d'une nouvelle paire. 

1ère étape : aller au magasin et demander conseil.

J'ai toujours pris des nike, c'est une marque qui amortit bien et dans laquelle je me sens bien. En discutant avec le vendeur, je lui dis que j'ai mes chaussures de puis un peu plus de 2ans, j'ai eu droit à un monstre speach comme quoi des chaussures de course c'est 6 mois maximum.... C'est ça mon coco, comme si le commun des mortels avait 200.- à claquer tous les 6 mois dans des chaussures de course... Tout de suite, le gentil vendeur essaie de me refiler des asics. Ils essaient tous de nous refiler des asics. J'essaie ainsi mes nike et les asics dans le magasin (juste pour lui faire plaisir), mais 100m dans un magasin, c'est loin d'être en terrain. Je reste quand même plus à l'aise dans les nike. Bon, j'embarque cette paire. La vendeuse me répète 40x qu'elles ne pourront plus être échangées car elles sont soldées... ma foi...

2ème étape : on essaie sur le terrain.

Le soir même, un petit 5km pour tester ces chaussures. Gros soucis... après 2km j'ai super mal aux jambes. Niveau amorti, elles amortissent parfaitement, mais ayant les pieds plats, elles ne compensent pas suffisamment et me voilà tordue des jambes durant 5km... j'ai mal....

3ème étape : on revend les chaussures sur internet.

3ème étape en cours.... si jamais vous avez besoin d'une jolie paire...

4ème étape : on recherche des chaussures sur internet.

Grâce à une amie, je tombe sur un chouette site sur lequel je peux tout indiquer quant à ma foulée et celui-ci m'indique les modèles idéaux pour moi : des asics. Depuis le temps que je dis que je ne suis pas du tout à l'aise dans les asics, je commence à en avoir marre qu'on essaie toujours de me les refiler.
Autre solution, je tape le nom ultra sophistiqué de mes vieilles chaussures sur internet. Forcément, la mode de la course évolue et impossible de les retrouver. Je finis par commander 2 paires de la même série sur zalando, mon ami.

5ème étape : continuer à courir avec les vieilles car on a pas trouvé mieux.

Bref, j'ai cherché des chaussures de course.....

RUN RUN - JOGGING JOY

mercredi 21 janvier 2015

Snowtrail ou comment s'éclater dans la neige

Depuis hier, une grosse tombée de neige a recouvert nos contrées. Le bitume est en parfait état et dans les chemins un peu plus sauvages, c'est 10cm de neige fraîche qui nous attendent.

Motivée que je suis à pouvoir profiter d'une aussi belle opportunité, je décide de me lancer dans le snowtrail. Je vais bien-sûr me renseigner sur internet mais si j'écoute les conseils donnés, je ne me lancerai pas avant 2020, faute d'entrainement de telle ou telle manière au court de l'année... 

Je décide donc d'enfiler mes chaussures de trail qui ont l'avantage d'un profil cramponné sur le dessous et d'être imperméable et je me lance ! 

Forcée de commencer sur les parties bétonnées, je souffre un peu, mes chaussures n'étant pas conçues pour amortir sur un sol aussi dur. Mais dès que je quitte le village je décide de faire du "hors-piste". Hop, un mètre plus à droite go pour de la course en poudreuse. Je suis lente, je dois lever les genoux bien plus haut que d'habitude et mes foulées sont raccourcies au maximum pour ne pas trop galérer dans la neige. C'est physique mais je m'éclate ! Par contre je n'essaie pas de forcer. Je marche régulièrement entre les phases de course car je ne tiens pas à finir ma sortie en rampant. Finalement je termine avec un chrono de m... mais fière de ma sortie de snowtrail. 

Il est clair que le terrain n'est pas aussi évident que lorsque tout est sec, mais j'estime que se retenir à cause des 3000 conseils différents sur internet, cela n'aurait vraiment pas valu la peine.

Maintenant, voici mes conseils à un niveau d'amateur du dimanche qui est allé s'amuser pour la première fois dans la neige :
- chaussures avec un bon profil, idéalement des chaussures de trail imperméables
- vêtements adéquats
- quelque chose pour éviter que la neige ne rentre dans la chaussure : grosse chaussette sans pied (oui oui, vous voyez de quoi je parle), ou alors carrément ces guêtres spéciale course qui vous donneront des airs de marathoniens
- personne ne vous oblige à courir comme des débiles pendant 2h. Si vous vous amusez ne serait-ce que 10min dans la neige, c'est déjà bien ! 

En gros, pour savoir si on aime (ou pas), faut se lancer. Petit bonus : courir dans la neige permettrait de brûler jusqu'à 2,5x plus de calories qu'une course normale sur bitume !

Reste plus qu'à enfiler vos chaussures et....

RUN RUN - JOGGING JOY !

 



dimanche 18 janvier 2015

10km à pied, ça n'use pas seulement les chaussures, mais aussi les kg !

Il est bien connu que pour perdre du poids, il faut idéalement suivre un régime hypocalorique (pas besoin de s'affamer, simplement arrêter les sodas et les grignotages) et faire du sport. Un chiffre qui ressort souvent lorsqu'on zieute sur internet ou dans des magazines, c'est 3x 30min minimum de course à pied par semaine. 

Ayant testé cela pendant longtemps, 3x30min permettent de remplacer une partie des graisses par du muscle. Au début, on se verra déprimer au dessus de la balance dont les chiffres ne feront que grimper. Forcément, le muscle est plus lourd que la graisse. Avant que cette dernière s'en aille, le muscle s'établit. D'où l'augmentation du chiffre sur la balance. Mais peu à peu, la graisse s'en ira aussi. Le chemin est long mais en vaut la peine. De belles jambes musclées, un rêve pour beaucoup ! Bref, tout ça, vous le saviez sûrement déjà.

Pour ma part, j'ai décidé d’accélérer un peu les choses. Les fêtes de fin d'années ne m'ont pas fait beaucoup de bien (comme à beaucoup d'entre vous, je n'en doute pas). En plus des kilos venus s'installer sur mes hanches (faut croire que celles des voisins étaient déjà prises), des problèmes de peaux sont revenus (acné, peau grasse, crevasses au niveau des mains, gerçure des lèvres, etc...). Sans partir dans les détails, il est clair que les choses doivent être prises en main. A commencer par se remettre à boire 2l d'eau par jour (pour les soucis de peau !). Une bonne hydratation c'est la clé du succès.

Pour le reste, internet c'est bien joli, mais la solution miracle ne se trouve pas juste en cliquant... quoique... 

Lors de ma dernière débauche financière au décathlon d'Evian, j'ai acheté un pantalon pour la course à pied d'hiver de la marque kalenji. N'ayant jamais entendu parler de cette marque, je m'en vais sur leur site histoire de regarder ce qu'ils ont d'autre. Le pantalon est juste parfait, pourquoi pas le reste de leur matos ? 


Au delà de simples produits de sport, je découvre la rubrique conseils et coaching. Cette rubrique, je la vénère. On y trouve des plans d'entrainement accessibles et ciblés en fonction de ce qu'on souhaite atteindre (se muscler, garder la forme, débuter, perdre du poids, etc...).

Alors comme pour tous les bons plans, il faut les adapter à notre rythme, à notre capacité physique et surtout au temps que nous avons à disposition. Il est clair que pas tout le monde peut se permettre un 10km tous les soirs, mais je pense que 2 sorties de 40min par semaine, c'est accessible à tout le monde. 

Donc me voilà, avec mon joli programme d'entrainement que j'essaie de suivre du mieux que je peux. A voir si dans le temps imparti, les résultats seront à la hauteur de ce qu'ils promettent. Et même si ce n'est pas le cas, une chose est sûre, faire du sport à un niveau amateur et manger sainement n'a jamais tué personne.

Sur ce, on m'attend pour aller courir !

RUN RUN - JOGGING JOY